Les réquisitions du parquet de Paris demandant la relaxe de
Jacques Chirac et de ses neuf co-prévenus dans un procès de détournement
de fonds publics présumés remontant à 1992-1995, illustrent parfaitement une Justice à la botte d'intérêts particuliers et sous la houlette du pouvoir
exécutif.
mercredi 21 septembre 2011
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