Ça serait, tout de même dommage, d'oublier tout ça !

jeudi 30 décembre 2010

Omar Bongo aurait financé des partis français

PARIS (Reuters) - Des dirigeants gabonais, dont Omar Bongo, auraient détourné une trentaine de millions d'euros d'une banque africaine à leur profit mais aussi pour financer des partis politiques français, selon un télégramme diplomatique américain obtenu par WikiLeaks et publié par El Pais.
Ce télégramme de juillet 2009, en provenance de l'ambassade des États-Unis au Cameroun, repris par le site internet du quotidien espagnol, s'appuie sur les dires d'un responsable anonyme de la Banque des Etats d'Afrique centrale (BEAC).
Son auteur mentionne l'ancien président français Jacques Chirac et son successeur Nicolas Sarkozy parmi les bénéficiaires de ce financement politique, tout en affirmant ne pas être en mesure de vérifier la véracité de ces allégations. ...



Qui a osé dire que cela pouvait, peut-être, constituer un frein aux enquêtes sur les biens mal-acquis ?

mardi 21 décembre 2010

Bêtise...corporative

Le duo Copé-Jacob était décrié mardi par la gauche mais aussi une partie de la majorité pour avoir tenté de s'opposer à la création d'une incrimination pénale spécifique pour les députés faisant une déclaration de patrimoine volontairement incomplète ou mensongère.

Essayez donc des déclarations des revenus incomplètes ou mensongères pour voir, sans être Député !?

jeudi 9 décembre 2010

Sacré Brice : Objectivité de mise

Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a  réfuté le terme de "pagaille sur les routes" alors que de nombreux automobilistes et routiers se plaignent de l'absence ou de l'insuffisance de salage des axes routiers.


"Au moins 3.000 personnes" onté été hébergées au cours de la nuit dans des centres d'urgence en Ile-de-France, mis en place pour l'occasion, essentiellement dans les départements de la grande couronne, selon la Préfecture de police de Paris. Rien que dans les Yvelines, entre 1.500 et 2.000 personnes étaient accueillies dans des centres.
 

Et Christine Lagarde et son équivalente objectivité économique...  pas eu trop de problèmes en vélo, j'espère ?  

Un flocon ça va, c'est quand il y en a plusieurs que ça pose des problèmes...

mercredi 1 décembre 2010

Carla, la reine du piston


Carla Bruni-Sarkozy a beaucoup d’amis qu’elle aime chouchouter. Culture, journalisme, conseil, politique, autant de domaines dans lesquels Carlita a placé sa famille, ses ex-amants ou ses copains.

 

Val, c’est pas mal

Elle a soufflé son nom dans le creux de l’oreille de Sarko. Ses vieux amis, Carla sait les choyer. Et voilà donc comment, en mai 2009, Philippe Val, l’ancien patron de Charlie Hebdo, fut appelé sous les drapeaux pour diriger France Inter.

Tempête dans un Verdeaux

De passage à New York pour la promo de son album en 2008, Carla en a profité pour soutirer en douce le directeur financier d’Unitaid, Grégoire Verdeaux, à ses fins de com de première dame. Il fait aujourd’hui partie de la fidèle garde élyséenne en tant que chef adjoint du cabinet de Sarko. Belle promo.

En attendant Baudot

Parrain du fils de Carla, François Baudot, ancien journaliste à Elle, avait obtenu par l’entremise de l’ex-mannequin un poste pépère au ministère de la Culture. Un placard à plus de 5 000 euros mensuels, bien utiles pour préparer sa retraite. Il est mort en mai dernier.

Klarsfeld, l’ex-amant

C’est moins en avocat chevronné qu’en ex-amant de la top-modèle qu’Arno Klarsfeld a gravi les échelons de la Sarkozie. Candidat UMP humilié aux législatives de 2007, le petit Arno a retenu la leçon : il préfère les nominations aux élections. Un art dans lequel il excelle. Après avoir été conseiller pantouflard au cabinet de Fillon, il entre aujourd’hui au Conseil d’État à… 7 000 euros par mois. À quand Mick Jagger à la Cour des comptes ?

Copine de podium

Copine de fripes des défilés de mode, Véronique Rampazzo a, depuis deux ans, son petit vestiaire à l’Élysée. Elle a été embauchée comme « conseillère technique » de Carla pour gérer son agenda et faire le lien avec les activités du mari. Son talon caché.

La langue d’Auque

La nuit porte conseil, surtout lorsque le « journaliste » Roger Auque, otage des Libanais et des soirées mondaines, rencontre la belle. Et qu’il se décrasse en jogging avec Sarko sur l’île de la Jatte. Son pourboire à l’arrivée ? Ambassadeur en Érythrée !

On Remmert ça

Entre frangines, on s’aide. Consuelo Remmert, demi-soeur de Carla, a intégré depuis 2008 la cellule diplomatique du Château. En tant que simple stagiaire, certes. Mais c’est suffisant pour figurer au côté de Sarko au G20 à Londres, en 2009, et d’accueillir le chanteur de U2, Bono, sur le perron de l’Élysée.

Gruson grisé

Être le mari de celle qui fut la gouvernante des Bruni-Tedeschi est une chance inespérée. Luc Gruson, le bienheureux, en a allègrement profité : il a été nommé à la hussarde directeur du récent musée de l’Histoire de l’immigration. Hélas, le ministère du même nom est revenu à Hortefeux lors du dernier remaniement…

Rostain, y a pas photo

Vingt ans qu’il lui tire le portrait et, sésame, les portes de l’Élysée se sont ouvertes pour un temps à lui. Le photographe de Carla, Pascal Rostain, a été imposé urbi et orbi à Sarko. Un job en or pour du cliché en barre : voir Carla en pleins préparatifs d’un dîner officiel ou assise dans le siège du Président.

Madelin le malin

L’ENA et le mannequinat, ça va ensemble. Les politiques aiment bien s’afficher aux bras de top-modèles. Comme d’autres, Alain Madelin en a profité. En 2002, il s’est attaché les services d’une beauté proche de Carla, chargée d’assurer le rôle de potiche du monsieur, alors candidat à la présidentielle. Depuis, elle ne s’est pas défilée, ils se sont mariés.

La mule Demules

Franck, son assistant perso, Carla est allée le chercher dans un cloaque de l’après-Mai 68. Orphelin, un temps acteur drogué, autrefois prisonnier alcoolo, elle l’a pris sous son aile il y a plus de dix ans. D’abord chauffeur puis homme à tout faire de l’Élysée, sous les bons auspices de Sarko.

Leclerc, c’est pas clair

Gérard Leclerc tutoie Sarko et connaît bien Carla Bruni grâce à l’amitié qui lie depuis vingt ans la chanteuse et son frère, Julien Clerc. Bref, un bon barda pour obtenir les faveurs de l’Élysée. Et être nommé président de La chaîne parlementaire (LCP) contre le choix des députés, dont l’avis n’était que… consultatif.

Frédo Mitterrand recyclé

Pour franchir le Rubicon de la famille Mitterrand, Carla a jeté les ponts. C’est elle qui a organisé la rencontre entre Frédéric, neveu de Tonton, et son mari, pour que Frédo soit l’heureux occupant de la Villa Médicis à Rome. Et devienne, par ses conseils avertis, la belle prise du remaniement par une nomination au ministère de la Culture.

Schick, c’est chic

Pour bénéficier des premiers rayons de l’Audimat à la rentrée 2008, Daniel Schick avait eu, pendant l’été, une belle exclusivité avec sa copine Carla Bruni. Un entretien en trois parties diffusé sur France Info. Depuis, l’homme a pu regagner l’oasis des plateaux télé. Et a eu l’insigne honneur d’être invité au très huppé mariage de l’actrice Marine Delterme, meilleure amie de Carla, en présence de Sarko, au Cirque d’hiver, à Paris.

Charon, le retour

Excommunié par Cécilia ex-Sarkozy, le pourtant très fidèle Pierre Charon, conseiller en com de Sarko, est revenu en trombe dans les bagages de Carla, jusqu’au remaniement de novembre qui l’a laissé filer au confortable CESE. Il aura disposé d’un bureau au Château, juste à côté de sa protectrice et d’un strapontin à la réunion quotidienne de 8 h 30. Sans oublier la Renault officielle avec chauffeur et gyrophare. Quel fard !

Zelnik pour la zik

« Produis mes disques et je ferai ta pub auprès de Chouchou ! » Voilà ce qu’aurait pu dire Carlita à son patron Patrick Zelnik, de la maison de disques Naïve, qui accuse un déficit de plus de 2,3 millions d’euros en deux ans. Petit bol d’air frais, Zelnik a été chargé de conduire une mission sur l’offre culturelle en ligne, en septembre 2009. Un raccourci un brin facile ? Pardon, la nomination vient de Frédéric Mitterrand, installé dans son maroquin par… Carla.

Repiquet au piquet

Jolie récompense pour le bâtonnier de Paris, Yves Repiquet, qui a été désigné l’année dernière président de la commission consultative des droits de l’homme. Son mérite ? Sa femme, Martine Delavelle, possède une baraque au Cap-Nègre, où il passe tous ses étés. À deux pas de la bicoque où se languit le couple présidentiel, dans la propriété familiale des Bruni-Tedeschi