Le procès du "crash" du Concorde à Gonesse débute dix années plus tard. Outre la douleur et celles des familles en particulier, dix ans donc pour les PN d'Air France à se répéter le rassurant message assené par le Président SPINETTA, au lendemain du crash, excluant toute responsabilité de la Maintenance.
Une entretoise manquante dans le boggie gauche devrait ne pas laisser "tourner rond "cette thèse du Président. Thèse aussi audacieuse qu'immédiate !?
Ces "crash" au sol sont un calvaire pour des enquêteurs "sous pression", alors qu'un accident au milieu de l'Atlantique, comme le Rio, est tout de même bien plus simple à gérer, sous réserve que l'on s'attache, sous-marin Émeraude aidant, à ne surtout pas retrouver l'épave de l'AF 447. Ainsi le BEA peut aisément exprimer ses errances, au profit des constructeurs, sans avoir à les rendre compatibles avec d'insupportables boites noires.
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